Les fauteurs des troubles

Récemment, je vois que j’ai un nouveau dictionnaire: Google Translate.

Bien que mes amis francophones sont très encourgeants de mon français, je sais que je fais beaucoup d’erreurs. (Comme ici: je ne suis jamais certain si je dois écrire « beaucoup d’erreurs » ou « beaucoup des erreurs. »)  En fait, ils sont gentils. Aussi, le plupart de temps, ils voient ce que j’ai écrit (tapé) parce qu’il me lisent sur Twitter, Facebook, ou dans un couriel.

Je crois que, avec une autre langue, il est plus facile à lire que d’écrire, et plus facile à écouter que de parler.  Et si je parle en ligne en texte (« chat »), j’ai plus de temps pour réfléchir… ou pour chercher dans mon dictionnaire.

Avec Google Translate, je n’oeuvre pas si souvent mon dictionnaire de poche fidèle.  Au lieu de cela, je tape quelques mots:

C’était avec ça que j’ai confirmé que « plupart » est féminin et pas masculin.  (Avec Google Translate, les choses vont mieux si vous tapez une expression et non pas simplement un seul mot. Plus de contexte.)

Aussi, parce que j’ai un certain niveau de compétence, je peux voir si le français de Google Translate est mieux que le mien… ou non.  Mais pas toujours.

Une chose que j’aime: si j’écris une phrase avec quelques mots dont je ne suis pas certain, je ne dois pas les chercher un à la fois (dans le dictionnaire de poche, ou dans le grand Harper-Collins Français-Anglais, ou dans mon Dictionnaire du français d’aujourd’hui).

Quand je parle directement à quelqu’un, bien sûr, je ne peux pas faire cela. Hélas, je n’ai pas souvent l’occasion de parler français, et donc quand je le fait, je suis parfois hésitant.

Lorsque j’ai commençer à écrire j’ai eu l’idée d’écrire des mots français  qui me confondent (les fauteurs des troubles dans le titre). Je pensais des mons communs comme plutôt, parfois, surtout– des mots très ordinaires aves lesquels je ne suis pas fluent.  Mais ma charrette a vagabondé sur la route (encore une fois).

2 réflexions sur « Les fauteurs des troubles »

  1. J’ai utilisé pendant longtemps Babel Fish de Yahoo! pour traduire quelques mots, mais le résultat n’était pas toujours bon. Je vais essayer Google translation.

  2. Si tu me demandes, il faut savoir quelque chose d’une langue pour profiter d’un traducteur numérique. Sinon, tu n’auras pas la moindre idée ce que la traduction vraiment veut dire. Je n’ai aucun doute que ton anglais est mieux que mon français.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *