Mes sous-titres

Il y a quelques mois, j’ai découvert Universal Subtitles (Sous-titres universels). Ceci est un site où on peut télécharger le lien pour un vidéo, et après, ajouter des sous-titres. (Il me semble que le site s’appelle maintenant Amara, mais le URL reste universalsubtitles.org )

L’idée m’est venu que je pourrais essayer quelques traductions. Donc, jý ai tapé les paroles en français pour une chanson, et après, ma traduction en anglais.

Pendant que vous regardez une vidéo, vous pouvez choisir la traduction en français ou en anglais avec la petite flèche en bas à gauche de l’écran.

J’avais essayé mettre une de mes vidéos ici, mais jusqu’à hier,  je n’avais pas eu de chance. Tel qu’il est, le processus de la mettre dans un billet de blog est un peu délicat. Ou devrais-je dire non fiable?

La montre de mon grand-père

Mon grand-père, John David Macdonald, ëtait très habile dans des différents métiers. Il était charpentier, par exemple–en fait, il est venu au village d’Inverness pour aider à construire une église. Comme j’ai écrit ici, il y avait beaucoup des gens nommés Macdonald (ou MacDonald, ou McDonald, ou…), et de nombreux nommés John Macdonald. Alors, de la même manière que les gens au Canada français utilisent des dit-noms, mon grand-père a réçu le « style » Jack D.

Un peu ironique, son travail sur l’église, parce qu’il était protestant–la stricte, calviniste protestantisme de l’Écosse–bien que l’église était Stella Maris (Marie, l’étoile de la mer). Même si il y a beaucoup des protestants écossais, il y a aussi des catholiques. Sur l’Île de Cap-Breton, peut-être les deux tiers des personnes qui tracent leurs racines à l’Écosse sont catholiques.

Photo de Jimmy Emerson, http://www.flickr.com/people/auvet/

Cela peut expliquer pourquoi, après quelques mois à Inverness, il a épousé une jeune fille catholique. C’était le cas aussi avec son bon ami, Matthew Ferguson:  propriétaire d’un petit magasin, protestant comme Jack D, mari comme Jack D d’une jeune fille catholique, et (evennement, comme Jack D) mon grand-père.

Jack D était aussi mécanicien. En ces (les 1910s, disons), Inverness comptait une mine de charbon. Un train a porté le charbon de la mine sud à la Nouvelle-Écosse continentale. Il y a 100 ans, Jack D était le chauffeur d’une locomotive qui a déraillé; le mécanicien a été tué.

Voici une photo. La légende dit (en anglais):

Canadian Northern 4-6-0 [le type de locomotive] #79, renuméroté 1219 et plus tard Inverness #1. À Glendyer le mécanicien William Campbell a été tué, le chauffeur John D. MacDonald blessé.

Moi, je ne voudrais pas être si blessé–et échaudé par la vapeur de la locomotive–en 1912. Mais Jack D a survécu et a vécu à 81.

Je viens de rentre de rendre visite à sa fille, ma mère, qui aura 94 ans en trois semaines. Elle m’a donné un cadeau–la montre de poche qu’il a utilisé en travaillant sur le chemin de fer.  J’écrirai plus de cette cadeau.

Le cadeau (ou drapeau) de mes enfants

Aux États-Unis, le troisième dimanche de Juin est « Father’s Day, » la fête des pères. J’ai trois enfants (adultes) dont je suis fier, et je suis toujours heureux de les voir. Ma fille la plus proche habite à une heure de moi; mon autre fille et mon fils sont beaucoup plus loin.

Normalement, je préfère de ne pas faire une grosse affaire des occasions comme mon anniversaire, encore moins cette fête. Mais cette année, j’ai décidé de proposer quelque chose à mes enfants, s’ils auraient l’envie de me donner un cadeau.

Hier, il est arrivé:

Bonne fête, papa!

Depuis de nombreuses années, j’ai voulu avoir un drapeau canadien à mettre en place dehors ma maison  sur la fête du Canada. Il n’est pas facile de trouver un drapeau canadien aux États-Unis — particulièrement un drapeau fait au Canada.

En plus, j’aime le plan du drapeau. Regardez celui de la France:

Le bleu, blanc, et rouge

Sur le drapeau français, les trois bandes verticales sont égales. Mais ce n’est pas le cas sur l’Unifolié, où le champs blanc est un carré, et chacun des deux champs rouges a « a exactement la moitié de sa largeur. » Aujourd’hui, l’héraldique parle du « pal canadien » grâce au dessin de George Stanley et John Matheson (vidéo en anglais).

Avant 1965, le drapeau canadien était le Red Ensign, qui a changé de temps à autre (mais pas trop).

Le Red Ensign de 1921

Pendant la deuxième guerre mondiale, ma mère était infirmière dans la marine canadienne et mon père était membre de la Gendarmerie royale du Canada, donc le drapeau-ci était le leur.

Je me souviens un dessin qui a été promu par Lester Pearson, premier ministre du Canada avant l’Unifolié:

Le fanion de Pearson

J’ai aimé ceci — les bandes bleues symbolisent les océans Atlantique et Pacifique. (La devise du Canada: a mari usque ad mare, d’un océan à l’autre.)  Mais il était beaucoup des dessins en ce temps-là. Comme un journaliste a écrit:

Il semble que tous les Canadiens avec un pot de peinture, un morceau de papier et de prétentions artistiques se mit à dessiner un drapeau.

Même si, l’Unifolié avec sa feuille d’érable est devenu un symbole du Canada que le monde entier reconnaît. Et que, maintenant, mes voisins peuvent voir à la fête du Canada.

Mon voyage virtuel en Finlande

Depuis deux ans, j’ai travaillé avec une collègue finnoise. Je passe une heure chaque semaine sur ce travail. En plus, j’apprends plus de la Finlande, et elle et moi partageons des intérêts professionnels.

Une partie de son propre travail consiste à la formation des personnes à faire des présentations.  La semaine dernière, elle travaillait avec un groupe des finnois que serait donné des présentations… aux anglophones, en anglais.

l'automne en Finlande
L’automne en Finlande

Elle m’a invité à parler à son groupe, en anglais, au sujet de la façon de présenter efficacement aux personnes dont la langue maternelle est l’anglais–particulièrement des américains.

Je crois qu’il y a une différence entre un stéréotype et une généralisation. Un stéréotype est une supposition que tout le monde qui appartient d’un groupe est identique: le français porte le béret, l’américain parle trop fort, un suèdois est toujours blonde.

Mais une généralisation, même si elle est trop simpliste, est néanmoins utile comme quelques premièrs pas vers la reconnaissance de formes possibles.  C’est vrai que, comme Stephane Golmann a chanté:

On ne peut pas contenter tout le monde et son père
être au four, au moulin, ou avoir quatre mains…

Mais on peut visiter le four, pour savoir mieux ce qui passe là, et après visiter le moulin.

Alors? Mon collègue m’a décrit certaines généralisations qui s’appliquent aux finnlandais.  Par exemple, ils peuvent être très graves, en particulier au travail ou en donnant une présentation. Ils croient que il n’est pas professionnel à faire des blagues ou utiliser l’humour dans un présentation.  Aussi, ils croient que les faits doivent parler pour eux-mêmes.  Donc, ils n’essaient pas coinvaincre leur auditoire sur un certain point.

Peut-être vous voyez que je ne suis pas très finlandais.

Mon collègue et moi avons aussi discuté les differences entre sa langue et la mienne.  Le finnois n’est pas une langue indo-européenne, comme anglais, français, ou même croate.  Et elle est une langue agglutinate, qui forme des mots des éléments basiques.  Par exemple:

  • talo (un maison / la maison)
  • talossa (dans une / la maison)
  • talolla (à une / la maison)
  • talona (comme maison)

Ou, un peu plus difficile:

  • istua (s’asseoir)
  • istun (je m’assieds)
  • istahtaa (s’asseoir pour un temps)
  • istahtaisinkohan (Je me demande si je devrais m’asseoir pendant un certain temps)

J’écrirai plus, mais il est déjà trop longtemps que je n’ai rien écrit ici.

Photo de l’automne en Finlande, de Heather Sunderland.

On apprend en faillant

Pas beaucoup de mots dans la charrette justqu’à présent.  Celui-ci est mon premier billet de la nouvelle année.

J’ai eu l’habitude de visiter souvent Second Life, un monde virtuel où j’ai trouvé des francophones à qui je parlais.  Dans la dernière année, cependant, cela n’a pas été le cas.  J’y vais moins et moins souvent, et quand j’y suis, je vois rarement aucun de mes amis.

Donc, je ne parle pas beaucoup de français.  Je suis malheureux à ce sujet, parce que je sais bien que je dois pratîquer mon français.  Comme j’ai dit souvent à mes amis en ligne, « En forgeant, je deviens ferguson. »

(En Second Life, mon avatar s’appelle « Ferguson Davies. »)

C’est en écoutant des conversations en français que mon cerveau travaille plus forte.  Je crois vraiment que nous apprenons en travailant — et en faillant.  Les erreurs que nous commettons nous aident à comprendre mieux.  Et quand un ami utilise une expression que je ne sais pas, j’ai maintenant un contexte pour l’expression.

Par exemple, j’écoutais une émission de nouvelles l’autre soir.  Quelqu’un a dit, « Quand même. » Je n’ai pas su ce que cela veut dire.  J’ai cherché dans mon dictionnaire, et maintenant, je le comprends mieux, en partie parce que de l’entendre dans l’émission.

L’année où j’ai été obligé de visiter la France

En 2004, ma femme a dû d’assister à une conference dont le sujet lié à son travail.  La conference aurait lieu à Lyon, France.  Je n’étais pas membre de cette conference, donc, je pouvais rester chez nous.  Mais j’ai decidé de porter le lourd fardeau de passer une semaine en France, principalement par moi-même.

En ce temps-là, je n’avais pas souvent l’occasion de pratîquer mon français.  Comme on dit en anglais, il est devenu très rouillé.  Mais quatres années avant, ma femme et moi avons passé une très bonne semaine à Paris.  Je n’avais aucune idée de ce que je ferais, mais j’aime beaucoup lire des livres sur les voyages dans d’autres pays.

L’événement a eu lieu dans un centre de conference au nord de Lyon.  À côté du centre, il y avait un école.  Un jour, je me promenais dans les jardins quand j’ai vu deux enfants–un garçon de 12 ans, peut-être, et une fille de 10.  Je me suis dit, « Qu’ils semblent si français! »

J’ai composé avec soin une question dans ma tête, et j’ai demandé au garçon si il et la fille étaient des élèves dans l’école.  Le jeune français me repondait, « Je suis désolé.  Nous sommes hongrois. »

C’était clair que, hongrois ou non, son français était mieux que le mien.  Et que il n’a guère compris mon accent.

C’était pendant ce voyage que j’ai vu (encore) la difference entre l’étude d’une langue et la parler.  Est-il vrai qu’on dit « un carnet de dix tickets » pour l’autobus?  Pas « billets? »

J’ai dû jouer un rôle, me comporter comme si je n’étais pas si inquiet de faire des erreurs.  J’ailais faire beaucoup d’entre eux, et je savais bien que je ne vallais pas tromper personne–j’étais tourist dont sa langue maternelle n’était pas français.

En fait, pendant que j’écris ceci, je utilise Google Translate comme un dictionnaire virtuel — et une partie de ce qu’il suggère ne semble pas tout à fait raison de moi.  (« Tout à fait correcte à moi, » peut-être?  Je ne sais pas…)

Mais parce que j’ai accepté mon rôle (pour ainsi dire), j’ai eu beaucoup de bons moments à Lyon.  Dans la nouvelle année, je vais lire plus, écrire plus, écouter plus, et parler plus en français.

Un répas de « faut-qu’ça-sorte »

Ma mère n’est pas le meilleur cuisinier du monde.  Elle m’a dit que, quand elle était une nouvelle épouse, elle a demandé souvent à le boucher de l’épicerie, « Qu’est-ce que ceci?  Comment le cuisiner? »

Après quelques semaines, le boucher lui a donné un livre de cuisine.

Heureusement, mon père n’était pas gourmet.  Il a aimé la cuisine généreuse et simple — un homme qu’on appelle aux États-Unis « un gars de la viande et les pommes de terre » (a meat-and-potatoes guy).

Disons un gars de la viande, les pommes de terre, et la morue salée–un plat je n’arrive jamais à penser sans grimacer.

Quand nous les enfants rentrions de l’école, nous lui demandions, « C’est quoi pour le dîner? »  De temps en temps, elle aurait répondu en anglais, « Gottagoes. »

(C’est quoi, les gottagoes? Plus tôt, elle a fait la recherche dans le frigo pour les restes.  Elle trouvait les choses les plus vieilles en disant (en anglais), « That’s got to go… and that’s got to go. » (« Il faut que ça sorte…et que ça sorte… »)

Nous mangerons le faut-ça-sorte ce soir.
Nous mangerons le faut-qu'ça-sorte ce soir.

Donc, ce soir-là, notre dîner serait « faut-qu’ça-sort, » et elle a crée un nouveau mot anglais, gottagoes (de got to go, faut-sortir).

(Photo du frigo par Sylvar / Ben Ostrowsky.
Merci à Jacques Cool pour « faut-qu’ça-sort. »)

Frère André

J’ai grandi à Détroit, Michigan.  Aux États-Unis, il y a peu d’écoles primaires où les élèves apprennent des langues étrangères.  Donc, c’était à l’âge de 13 ans que j’ai eu l’occasion d’apprendre une autre langue.

Le plupart de mes camarades de classe a étudié le latin. Moi, j’avais été un enfant de chœur; j’ai appris bien le latin pour la messe.  Je n’avais pas envie que ce soit pour en apprendre plus. Au lieu de cela, je voulais apprendre une langue vivante–et à mon école, cela signifiçait « français.

Mes professeurs de lycée avaient presque tous des racines canadiennes-françaises.  Quelques étaient né au Québec; quelques étaient des américains d’origine canadienne.  Le plupart étaient membres des Frères d’instruction chrétienne, un ordre réligieux fondé à l’origine en France.

Donc, mon professeur de français était Frère André.  Comme, je crois, beaucoup des profs de français, il était très animé et très encourageant.  Je peux le presque entendre nous dire que, avant le fin de notre première classe, « vous parlerez français! »

Il avait raison.  C’est vrai, nous pouvions dire seulement des choses simples — J’ai un crayon, j’ai un livre, merci, s’il vous plaît. Mais j’était ravi parce que Frère André ouvrait pour nous une fenêtre, une porte, un pays.

L’autre jour, je parlais de lui avec une amie francophone.  J’ai dit que Frère André a planté l’amour pour la langue. Je voudrais bien le revoir et le remercier pour m’avoir fait découvrir le monde de la langue française.

En pensant de lui, je me rends compte que je n’écris pas ici assez souvent.  J’ai l’intention de faire mieux.

La maison noire et la maison acadienne

Sur l’Île de Cap-Breton, dans les 1790s, un colonisateur écossais aurait construit une  taigh dubh (« maison noire » en gaélique). Construit de pierre avec un toit de motte, elle aurait ressemblé à celles où ont vécu les gaels de l’Écosse.

La maison n’a qu’une chambre.  L’intéreur est souvent divisé en deux par une balustrade. À une côte, les animaux; à l’autre, la famille.  Donc on trouve souvent deux portes, aussi: l’une pour les animaux, l’autre pour les humains.

Une taigh dubh n’avait pas une cheminée; la fumée du feu de cuisson serait levée et se ‘échapperair par un trou dans le toit.

Au Musée Highland Village (An Clachan Gàidhealach; site en anglais) à Iona, Nouvelle-Écosse, vous pouvez voir une reconstruction d’une maison noire, ainsi que de nombreux autres bâtiments de différentes époques dans l’histoire du Cap-Breton:

An taigh dubh - la maison noire
An taigh dubh - la maison noire

J’ai pensé à la taigh dubh quand j’ai visité Annapolis Royal, Nouvelle-Écosse, où se trouve le Jardin historique.  Dans ce jardin il y a une reconstruction d’une maison acadienne, à deux pas des marais et des aboiteaux comme les acadiens ont construit avant 1755.

Maison acadienne au Jardin Historique à Annapolis Royal
Maison acadienne au Jardin Historique à Annapolis Royal

(La photo ci-dessus a été prise par Robber Esq.)

Une maison acadieen (reconstruction à Annapolis Royal)

Cette maison, contruit comme celles des 1640s, me semblait bien plus confortable que la maison noire de Cap-Breton.  Avec beaucoup d’espace, un plancher de bois (et pas de terre), une cheminée et un four, les acadiens y auraient restés à leur aise.

Dans la maison acadienne
Dans la maison acadienne

La lettre de mon père

Même si mon père aimait causer, il n’était pas grand écrivain. J’imagine que je n’ai pas réçu 10 lettres de lui dans ma vie. La dernière était (je crois) en 2000.

Quand il est mort, l’année dernière, je me suis souvenu de cette lettre. J’avais fait une copie de celui-ci, et je l’ai trouvé sur mon portable.

Avec cette lettre, il m’a envoyé deux photos qu’il a coupé du journal de ma ville natale. Ils montraient la maison de ses parents, qui était démoli quelques mois avant.

Jusqu' avant être démoli

Sans amis à Inverness

À la fin, personne n’accordait pas un surcis, ni situation de patrimoine, pour la vielle maison Ferguson qui s’est trouvé abandonnée au coin de rue Park et l’Avenue Central à Inverness.  Les destructeurs sont venus le vendredi dernier, et avant lundi cette vielle maison magnifique était une parcelle vide.

Cette maison avait été toujours « chez Grandma, » la maison de ma grandmère.  Chaque été, quand nous sommes allés à Inverness pour nos vacances, nous avons examiné avec impatiences pour la maison de couleur crème, à la périphérie de la ville.

Dans sa lettre, mon père a dit, « J’ai beaucoup des souvenirs bons de la vie dans la grande maison, mais mes souvenirs les plus chers sont des Red Rows (des Rangées Rouges) où je suis né.

Les « Rangées Rouges » étaient des petites maisons construit par les proprietaires de la mine du charbon.  Ces maisons étaient toutes peinte en rouge, donc, « rangées rouges. » Aussi, en anglais, un jeu des mots: « Red Rows » (rangées rouges) a le même son que « Red Rose » (rose rouge), une marque de thé bien connue au Canada.

Je chéris cette lettre parce que je peux entendre la voix de mon père surtout.  Il a commencé comme ceci:

« J’espère que le choc de recevoir une lettre de cette fin ne sera pas trop dur pour toi. »

S’il l’a écrit en 2000, il aurait l’âge de 86.  Comment a-t-il passé son temps, cet vieux?

Je suis allé à une danse à Windsor le samedi soir. Buddy MacMaster a joué (le violon) et l’endroit était bondé. La musique était excellente. Je suis rentré à 2h15… C’était une belle soirée, que j’ai vu des amis à la fois jeunes et vieux. Ce fut un voyage au Cap-Breton [en Nouvelle-Écosse, où comme moi, mon père est né].

Et à la fin:

J’espère que tu peux lire l’écriture.  La main vielle devient bien branlante.

Pour moi, la lecture de cette lettre une fois de plus est aussi comme un voyage au Cap-Breton, ou comme une visite avec mon père.  Même s’il ne parlait pas français, il serait très heureux de partager avec vous un peu de cette musique que Buddy MacMaster a joué: